Se faire aider |
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Lorsque nous butons sur les
difficultés de la vie, quelque chose en nous refuse la
souffrance qui en découle. La capacité à souffrir est
variable selon les individus, mais elle atteint vite une
limite et nous aspirons très fort à obtenir de l'aide
pour ne plus ressentir cette souffrance. Soit cette
souffrance nous paralyse, soit elle nous fait mobiliser
un maximum d'énergie pour nous en éloigner..
Je
m'aide moi-même : Les conseils des proches : |
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L'aides des professionnels : | ||||||
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Le
coaching :
Le coaching donne d'excellents
résultats pour la gestion du changement, soit
professionnel : soit personnel : ainsi que pour l'accompagnement d'élèves en rattrappage scolaire pour cause de manque de motivation et/ou de méthode de travail (apprendre à apprendre).
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Les
thérapies brèves : traiter une problèmatique ponctuelle
Elles sont une réponse à un besoin de gérer mal-être, déprime, anxiété, deuil, séparation, ainsi que les situations post-traumatiques, accident, agression, licenciement, harcèlement... Le thérapeute est compétent dans la gestion des processus psychologiques, émotionnels et relationnels. Les thérapies brèves sont également bien adaptées pour les difficultés conjugales, les relations parents/ados, les difficultés au sein de la famille, (dont les problématiques liées à la famille recomposée, à l'accompagnement des personnes en fin de vie, à la relation avec les grands malades, etc...), les élèves en difficultés scolaires... La thérapie se pratique selon les cas en individuel, en couple, en groupe familial, ou dans certains cas, en groupe de personnes n'ayant pas particulièrement de liens entre elles. La durée varie de quelques séances à une vingtaine. Il existe aussi des outils de soutien ponctuels, tels que le ré-équilibrage énergetique, la relaxation, l'hypnose, la méditation, le rebirth, etc., qui peuvent apporter un soulagement rapide sans s'engager dans un processus d'introspection. Celà peut parfois suffire, ou être un préambule à un travail plus en profondeur quand la personne le souhaitera. |
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La psychothérapie de durée moyenne :
En effet, lorsqu'enfant nous vivons des manques affectifs, des évènements traumatisants, ou des situations que nous ne comprenons pas, nous tentons automatiquement de nous protéger au mieux de nos possibilités du moment. Nous élaborons tout aussi automatiquement une "logique" pour comprendre et justifier la douleur physique, affective ou émotionnelle que nous subissons. Ces réflexes de protection et ces "logiques" vont participer à la construction notre personnalité, établir notre vision du monde à partir de laquelle nous allons mettre en place nos stratégies de vie. La psychothérapie est l'enquête qui va permettre, à partir des difficultés actuelles, de remonter le fil des évènements qui ont permis la mise en place de ces réflexes automatiques qui ne sont plus adaptés aujourd'hui et nous empêchent de vivre pleinement et librement. Nous en comprenons alors l'élaboration et prenons conscience des évènements traumatisants qui en furent à l'origine. La compréhension de ce qui s'est RELLEMENT passé et de ce que nous en avons fait intérieurement, est la clé de la résolution. Un processus de deuil est à suivre et une fois ce circuit bouclé, les réflexes pénalisants disparaissent. La durée d'une psychothérapie est difficilement évaluable au départ, chaque histoire étant unique et plus ou moins complexe. Cela peut aller d'une à plusieurs années selon les cas. |
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La cure analytique,
la psychanalyse :
Selon les écoles les techniques diffèrent quelque peu, mais c'est une thérapie de longue durée, sur plusieurs années, qui cherche par l'association libre des pensées, à faire s'exprimer ce que l'inconscient a stocké, enfoui au plus profond de notre être, permettant ainsi de connecter le conscient aux racines très anciennes de nos maux afin de nous en libérer. |
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Lorsque certains ne savent pas ou ne peuvent pas trouver l'aide dont ils ont besoin, ils ne voient plus d'échappatoire à leur souffrance, perdent tout espoir et accomplissent l'irréparable, ce qui est dramatique et d'une grande tristesse, car il y a toujours une issue, pas toujours visible, mais bien existante. | |||||
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